En fait, j’aurais dĂ» briser l’apocalypse, mais ma mère et le mari de ma tante baisent si fort que mĂŞme moi j’aimais que ma mère suce ma bite, lèche la chatte de ma mère, mon oncle a retournĂ© ma mère et l’a baisĂ©e de sa chatte Ă son cul, ils ont tous les deux fini par s’allonger sur le lit, j’ai quittĂ© la maison alors que je venais tranquillement, mon oncle est parti, je suis rentrĂ© Ă la maison, la bouche de ma mère Ă©tait dans ses oreilles, les baises ne sont pas sorties de ma vue pendant des jours, que ce soit quand j’ai vu ma mère, je me couche, je me mets dans mon rĂŞve j’ai j’ai eu quelques baises jusqu’Ă ce jour, mais quelques baisers Ă©taient toujours ceux qui voulaient en profiter, il n’y avait pas de rĂ©flexion sur le mariage, j’ai dĂ©cidĂ©, maman si c’Ă©tait putain, j’allais baiser avec mon oncle, mais je ne savais pas comment le faire.
Maman a dit qu’elle voulait aller chez ma tante, ils dorment et baisent lĂ -bas, mon père bizarre ne sait pas, je viendrai chez maman le week-end quand ma mère sortira, viens, ma fille le week-end, je vais chez ma tante, je suis allĂ© me coucher le soir, nous avons tous dĂ©jeunĂ© ensemble, mon oncle s’est levĂ©, je vais aller au cafĂ©, emmène-moi chez l’oncle, la fille travaille chez ma tante, elle va au cafĂ© en vacances aujourd’hui, emmène la fille bien prĂ©parĂ©e, allons nous habiller, dis-moi oĂą nous allons rester, oncle, tu bois ton cafĂ© raki Ă moi aussi, laisse-moi boire une bière .Jul, allons prendre l’air dans la forĂŞt, un peu de raki pour toi, une bière pour moi je l’ai pris, nous sommes allĂ©s dans la forĂŞt.
Il a trouvĂ© un coin, on s’est assis, il a ouvert ma bière, s’est rempli un double raki, j’ai bu, quand j’ai lu sa bite sur son pantalon, qu’est-ce que tu fais, ayten, qu’est-ce que tu as fait Ă ma mère, je veux que tu me fasses, ni sa mère ni dĂ©lirant, ne nie pas, je t’ai vu baiser avec ma mère, je vais te le dire chez nous, et tu es une fille, ayten, mon sucre, alan, je ne l’ai dit Ă personne, sinon l’apocalypse Ă©clatera, ayten, rien ne se passera, je dĂ©collerais mes sous-vĂŞtements, bien dodus j’ai ouvert mes seins, je me suis allongĂ©, mon oncle, tu sais, il a sorti sa bite, Ă©paisse comme mon poignet, 22 cm, laisse-moi la goĂ»ter regarde, dĂ©cide-toi donc, j’ai pris ta bite dans ma bouche, mais elle n’en fait mĂŞme pas la moitiĂ©, j’ai sucĂ©, j’allais sortir ta bite.
Si tu veux me baiser dans le cul, tu vas me baiser dans le cul, tu vas me baiser dans la chatte, mon oncle a commencĂ© Ă me sucer les seins, mon plaisir a augmentĂ© quand nous avons sucĂ©, mais sa bite frottait contre les lèvres de ma chatte, il est descendu ma chatte de mes seins, m’a lĂ©chĂ© la chatte comme une diapositive, je gĂ©missais de plaisir, je me suis finalement contractĂ©e et j’ai tremblĂ©, mon oncle a pris sa bite manuellement, maintenant je vais entrer dans sa chatte serrĂ©e, chĂ©rie, il est entrĂ© lentement.
Il a commencĂ© Ă embrasser mes lèvres sur ma chatte, a soudainement enracinĂ© la cigarette, a arrachĂ© l’herbe, s’est mordu l’Ă©paule avec une telle douleur, mais je ne pouvais pas oublier le son complet sortant de ma chatte, il l’a collĂ© Ă la racine sans pitiĂ©, finalement nous sommes tous les deux sortis, j’ai laissĂ© la fille dans la forĂŞt .j’ai essuyĂ© ma chatte saignante avec mon kilot, j’ai lavĂ© sa bite ensanglantĂ©e avec l’eau qu’il a prise avec ce raton laveur, comment voulais-tu que ça arrive, ça m’a fait très mal, tu vas avoir un autre double rempli, allez, il a encore sorti sa bite, viens sucer, ne le fais pas tout de suite, oncle, il n’y a pas de temps pour ça Ă temps, il m’a baisĂ© dans la bouche et dans le cul.